ON N’ACHÈVERA JAMAIS la célébration des Laudes ou des Vêpres sans que le supérieur ne dise intégralement, à la fin, l’oraison dominicale. Tous l’écouteront, à cause des épines, c’est-à-dire des animosités qui se fomentent d’ordinaire,
et pour que, par la promesse qu’ils font dans cette prière en disant : Pardonne-nous nos offenses comme nous les pardonnons, les frères s’engagent à se purifier de ce genre de vice.
Aux autres Heures, par contre, on ne dira que la dernière partie de cette oraison, de sorte que tous répondent : Mais délivre-nous du mal.
16 février
17 juin
17 octobre