Archives de catégorie : La regle de Saint Benoit

Prologue (suite) (b)

LEVONS-NOUS DONC ENFIN ; l’Écriture ne cesse de nous éveiller disant : L’heure est venue de nous lever du sommeil. Ouvrons les yeux à la lumière divine. Écoutons d’une oreille attentive la voix puissante de Dieu qui chaque jour nous … Continuer la lecture

Publié dans La regle de Saint Benoit | Commentaires fermés sur Prologue (suite) (b)

Prologue (a)

ÉCOUTE, MON FILS, les instructions du maître et prête l’oreille de ton cœur ; accepte les conseils d’un vrai père et suis-les effectivement. Ainsi tu reviendras par le travail de l’obéissance à celui dont t’a éloigné la paresse de la … Continuer la lecture

Publié dans La regle de Saint Benoit | Commentaires fermés sur Prologue (a)

Chapitre 73 – Que la pratique de la justice n’est pas toute codifiée dans cette Règle

NOUS AVONS ÉCRIT CETTE RÈGLE pour qu’en l’observant dans les monastères nous fassions preuve d’une certaine honnêteté de moeurs et d’un commencement de réforme de vie. Mais, pour qui se hâte vers la perfection de cette réforme, il y a … Continuer la lecture

Publié dans La regle de Saint Benoit | Commentaires fermés sur Chapitre 73 – Que la pratique de la justice n’est pas toute codifiée dans cette Règle

Chapitre 72 – Du bon zèle que doivent avoir les moines

DE MÊME QU’IL Y A UN ZÈLE AMER, mauvais, qui sépare de Dieu et mène à l’enfer, de même il y a un bon zèle qui sépare des vices et mène à Dieu et à la vie éternelle. Les moines … Continuer la lecture

Publié dans La regle de Saint Benoit | Commentaires fermés sur Chapitre 72 – Du bon zèle que doivent avoir les moines

Chapitre 71 – Qu’ils s’obéissent mutuellement

CETTE BONNE CHOSE qu’est l’obéissance, ce n’est pas seulement envers l’abbé que tous l’exerceront, mais les frères s’obéiront mutuellement, sachant que, par cette voie de l’obéissance, ils iront à Dieu. Priorité à l’ordre donné par l’abbé ou par les autorités … Continuer la lecture

Publié dans La regle de Saint Benoit | Commentaires fermés sur Chapitre 71 – Qu’ils s’obéissent mutuellement